
Les chefs de l’Europe ne peuvent convenir de beaucoup et certainement rien qui ressemble à un plan d’action. Je pense qu’il est simplement plus parlé. Ils tournent en round indéfiniment. Je ne vais pas vous ennuyer avec l’analyse interminable, mais c’est assez pour dire que le problème à des lacunes fondamentales dans le traite de Maastricht et l’Euro dont je vais discuter de deux seulement et je le fera aussi brièvement que je peux. (Mettre à jour : Ils conviennent d’un plan enfin. Les banques prennent « une coupe de cheveux » de 50 % et le fonds de secours est d’une façon ou d’une autre augmenté à un trillion d’euro. Donc ils adressent le problème de l’arbitrage et augmentent le fond de secours mais ils n’adressent pas l’avenir de la zone Euro ou de l’Europe elle-même mais c’est un bon commencement).
Premièrement, il y a le problème de « risques arbitrage » et « de danger moral » dans les obligations les faibles pays comme la Grec. C’est clair que les banques en Allemagne et en France étaient heureuses de prêter, par exemple, à la Grèce parce qu’ils supposent qu’ils ne permettront pas de défaut sur ses dettes. Par conséquent, les obligations à rendement élevé de la Grèce ont été considérées tout aussi sûrs que des obligations à de l’Allemagne (et s’il n’y a pas une partie défaut par Grèce se sont révélés être vrai). Ceci est en grande partie comment nous sommes arrivés dans cette situation. Je n’ai vu aucune des propositions pour arrêter ce jeu par les banquiers. Mais si elle ne s’arrête pas, nous aurons le même problème encore et encore.
Deuxièmement, il y a aussi un problème du même ordre qui est souvent discuté, mais je n’ai rien vu de spécifiques pour une solution. Dans l’état actuel des choses, tous les pays en le zone euro a des pays comme la Grèce sont traités comme si elles avaient économies similaires à l’Allemagne, la France, au Royaume-Uni, le Danemark et la Suède (et ils font semblant de respecter les critères de Maastricht pour le déficit budgétaire et la dette et le reste de l’Europe prétend qu’ils l’ont fait).
Il est inexact de dire qu’il s’agit d’un plan de sauvetage pour la Grèce. En fait, il s’agit d’un plan de sauvetage pour les banques françaises et allemandes qui sont le crochet pour l’argent qu’ils prêtent à la Grèce. Si la Grèce devait être par défaut dans la façon de l’Argentine, par exemple, il serait sans doute quelques années à venir (bien que ne rien comparer à la douleur et les dommages économiques d’austérité ferait de la Grèce, car il serait à tous les pays de l’Europe. Ce qui est nécessaire est de promouvoir une croissance économique forte pour survivre à cette crise. Les décennies d’austérité nécessaires pour réduire la dette publique au-delà même des niveaux du traité de Maastricht au point où la solvabilité ne peut plus être contestée tueraient toutes les économies de l’Europe aussi sûrement qu’une balle dans la tête.
Mais, comme les exemples de l’Argentine et l’Islande le suggèrent, il y aurait une reprise rapide avec, un minimum de dommages au bien-être l’économique du pays. La Grèce, en raison de son accent sur le tourisme et les exportations agricoles serait bien adaptée à survivre à une forte dévaluation de la monnaie. Par conséquent, ce qui est nécessaire à court terme est un plan pour la sortie de la Grèce de l’Euro (mais pas de l’Union européenne) afin qu’elle puisse partiellement faire défaut et dévaluer sa monnaie nouvelle.
Voici quelques idées pour faire face aux problèmes immédiats de la Grèce. Inutile de dire que, quand il s’agit de la situation globale européenne, ma façon préférée pour sortir des crises est une combinaison de rendre le système économique en mettant des limites sur les banques utilisant l’effet de levier et des changements significatifs dans la façon, dont les pratiques de rémunération actuelle pour les banquiers, grandement encourage la prise de risques excessifs. Ce serait aussi a faire en combinaison avec un changement dans le mandat de la Banque centrale européenne lui permettant d’agir comme une banque centrale et le vrai prêteur de dernier recours, si nécessaire.
Finalement, nous devons reconnaître que les problèmes de l’euro sont structurels et nous devons donc soit adopter le plan de Georges Soros pour une intégration dans les États-Unis d’Europe (que je considère personnellement comme inutilisable comme l’ex-Yougoslavie était impraticable et il y a d’autres problèmes, trop) ou nous devons abandonner l’euro tout à fait. C’est la solution à long terme que je préconise.
Mais d’abord, les dirigeants de l’Europe doivent relever le danger immédiat que nous nous reposions aujourd’hui sur le bord de l’abîme. Pour commencer, il faut stabiliser les banques avec des garanties explicites et l’utilisation d’euro-obligation pour arrêter les attaques contre les obligations de la Grèce, de l’Italie et de l’Espagne. Ces mesures aideront à stabiliser l’économie européenne.
Puis ce sera le temps de régler les problèmes structurels de l’euro par lequel je veux dire que l’Europe a besoin d’un plan à plus loin terme visant à a démanteler l’Euro entièrement.
Mais je suis aussi d’accord avec l’économiste Jean Pisani-Ferry qui dit que les dirigeants doivent aller de l’avant et ils doivent choisir maintenant ou tout sera perdu. Il conclut son article dans le Financial Times de Londres avec une citation merveilleuse du défunt premier ministère de France Pierre Mendès-France, qui dit: « gouverner, c’est choisir