
J’ai passé beaucoup d’heures agréables luttant pour comprendre les bandes dessinees de Wolinski. Quand j’ai commencé à apprendre le français, tout le monde m’a dit de commencer à lire le Paris Match. Dans ce magazine, j’ai vu les dessins animés qui étaient étranges, fascinants et ont semblé être très simples. J’ai pensé que j’ai dû seulement traduire les mots pour voir la signification. Beaucoup de ces caricatures dans des endroits autres que Paris Match ont été assez sexuellement sophistiquées. Mais donc souvent la signification était plus profonde et plus puissante qu’apparue au premier coup d’oeil.
Les bandes dessinees de Wolinski étaient souvent farceurs. Il a offert un point de vue aigri du monde, pourtant d’une façon ou d’une autre tout à fait optimiste et sympathique. Sa langue était toujours prudente, intelligente et uniquement le français. Pour moi, Georges Wolinski était le Georges Brassens de réalisateurs de bandes dessinées. Je ne pourrai jamais lire une autre édition de Paris Match sans me sentir triste.
Voici un hommage à la vie de Georges Wolinski sur le site Web de Paris Match.