Wolfgang Münchau dans le Financial Times affirme aujourd’hui que la zone euro a seulement quelques jours restants pour éviter l’effondrement. Je pense qu’il est juste dans son analyse du danger présent et que seule une action immédiate par l’UE sous la forme d’une euro-obligation temporaire et une intervention vigoureuse de la BCE peut sauver le monde d’un crash économique des proportions véritablement biblique. La clarté de Münchau est évidente pour tous ceux qui ont prêté attention. Mais je ne comprends ni ne suis d’accord avec son appel à une « union fiscale ». L’appel pour «l’union fiscale » est le dernier cri dans la mode politique, mais, qui sait ce que l’on entend par ce terme ? Je ne sais même pas si cela signifie la même chose pour tout le monde parce que ne personne qui utilise cette phrase jamais dérange pour expliquer ce qu’elle signifie pour lui ou honnêtement décrivent les choix politique difficile qui devraient être faits pour apporter une telle union.
Une autre expression à la mode étant ballottée avec tant de désinvolture est « d’abandonner leur souveraineté ». Je ne sais pas ce que cela signifie soit, mais il semble inquiétant et profondément antidémocratique. Je suis raisonnablement certain que je n’aime pas les implications. À qui cette souveraineté être remise? Cela signifie te donnant l’Allemagne et les pays scandinaves un droit de veto sur certaines ou toutes les mesures de dépenses dans d’autres pays ? Quelle sera la limite de ce pouvoir de veto? Ne pas toutes les lois de toutes sortes et de manière impliquent des décisions de dépenses si ce n’est que parce que l’argent doit être alloué pour leur exécution? Si un pays abandonne tout pouvoir sur taxer et de dépenser n’est-il pas devenir un simple état vassal de ceux qui détiennent ce pouvoir? Qui doit être les maîtres et qui les vassaux ?
Mais si elle n’est pas l’Allemagne et les pays scandinaves, il faut à nouveau demander à qui va cette souveraineté soit donnée? Peut-être seront les eurocrates de Bruxelles sans visage? Et qui sont les maîtres de ces technocrates sans visage? Qui servent-ils? N’est-il pas évident qu’ils servent les banquiers qui ont créé ce crises et les oligarques qui sont toujours prêts à voler les gens. Dans les deux cas à ce jour dans laquelle des gouvernements démocratiquement élus européens ont été déposés en faveur des «technocrates» ou «eurocrates» dans chaque cas le souverain à nommer a été choisi par les banquiers internationaux et leurs agents dans la Politique de classe et je ne doute pas où les loyautés de ces deux hommes peuvent être trouvées. Lorsque Wolfgang Münchau parle de «union fiscale» veut-il dire que tous les peuples de l’Europe devraient être forcés de se soumettre à la règle par l’homme de Davos? Inacceptable !
Peut-être des véritables « États-Unis d’Europe » ? Mais ne serait-ce pas exiger que tous les Européens soient prêts à renoncer à leurs histoires, des cultures et la fierté nationale en faveur de quelque chose comme la nationalité fausse illustrée par le peuple inexistant et les bâtiments figurant sur la monnaie ? Allons-nous dissoudre les nations existantes et redistribuer l’ensemble de l’Europe dans de nouvelles régions ? L’expérience de l’Afrique, le Moyen-Orient et même des Balkans nous dit que le dessin de l’arbitraire, les frontières artificielles finit toujours mal. Toujours. Sans exception. Mais en conservant les pays existants ne sont pas si simples que ce soit. Il est probable que si nous gardons tous les petits pays comme subdivisions politiques, et les nouveaux « États-Unis d’Europe » utilisent le système du une personne, un vote ou si l’alimentation est distribué sur la base de la puissance économique ou puissance militaire, puis les petits pays seront soit gouverné comme les états vassaux par les grands pays (ce qui est mauvais).
Et pourtant, si chaque État, grand ou petit, a droit de vote égal, puis les petits pays pourrait utilise leur pouvoir de vote pour forcer l’Allemagne et les pays du Nord de les subventionner perpétuellement comme ce serait sans aucun doute le cas si chaque État indépendamment de la taille étaient garantis un nombre artificiel des sièges au la nouvelle assemblée. Ce qui serait aussi mauvais, mais elle est la conséquence inévitable d’une union fiscale des démocraties. En toute équité, on peut facilement comprendre que l’Allemagne ne souhaite pas donner leurs compatriotes Européens qu’ils considèrent comme dépensiers pouvoir illimité d’exécuter jusqu’à projet de loi sur leur carte de crédit.
Ou ne pourrait-il pas mieux de prendre l’opportunité de se détourner de la catastrophe à venir, simplement en reconnaissant que l’euro a été une erreur tragique ? Si la BCE peut être convaincue d’agir comme une banque authentique centrale et d’une euro-obligation temporaire peut être convenue, ce serait le moment idéal pour réaffirmer que l’UE est en effet une union d’États démocratiques en se débarrassant de l’euro et imposer à la réduction de la puissance de Bruxelles. En bref, je vous propose plus de démocratie mieux comme une solution plutôt que moins.