
Donc, car vous prévoirai, j’ai regardé l’interview avec DSK sur TF1 mais ne comprenait pas la plus grande partie. Dans l’sections de son réponses je comprends, il dit rien nouveau. Vraiment, il dit rein du tout. Tout ce que je apprendre est qui est Claire Chazal. Elle est évidemment une « télévision personnalité » et ne pas une « télévision journaliste ». Elle ne demande même pas la plus évidente question de suivi. Non, elle s’assoit avec ses mains jointes. Elle avait l’air plutôt triste ou peut-être une «otage vidéo ».
Si elle ne serait pas demande sur l’événement et il offre non mais pour dire qu’il a fait « un faute morale » Qu’est-ce que « un faute morale » quand il est à la maison ? Je sais que l’écoute française parlée est sa propre récompense et je me sens plus vertueux pour avoir écouté mais, vraiment, ce qui a été le point ? Ce fut une perte totale de temps.
Il n’aborde pas les questions sérieuses sur sa discrétion, son jugement, et maturité (à 63 ans) être le président de la république. Et pour une raison quelconque, Claire Chazal n’explore pas ces questions avec lui.
En outre, certaines questions sur la logique interne de la version des événements DSK auraient certainement été le cas. Je ne suis pas en parler graphiquement mais tout le monde regarder seulement de l’entendre expliquer un chose et un seule chose : S’il dit la vérité qu’il ne paie pas pour le sexe, donc, la question centrale devenir comment peut-il séduire Nafissatou Diallo dans peut-être les dix minutes ou plus disponibles à cet effet ? Le speed dating au max ! Si seulement DSK partagerait le secret du son succès avec les femmes il serait sûrement le président de la république. Tous les hommes voteraient pour lui de gratitude. Évidemment, le « faute morale » dont il parle était entretenue par une prostituée dans sa chambre d’hôtel avant qu’il ne soit allé à déjeuner avec sa fille. Je le prends que ceci est dont la « faute morale » il parle.
Sur son site web, M. Goldhammer afficher ce remarque excellente il entend faite par Philippe Meyer sur France Culture : « Un pays qui prend Bernard Tapie pour un entrepreneur, Bernard-Henri Lévy pour un philosophe, Jacques Attali pour un penseur, Claire Chazal pour une journaliste, Alain Minc pour un économiste, etc. ne peut s’étonner d’avoir Nicolas Sarkozy comme président de la République ». Ceci est élevé sur une liste de choses que je souhaite que j’aie dit. Si cela devait être sa voie de la réinsertion pour DSK, donc, il a trébuché terriblement.
Comme Nicolas Domenach dit dans Marianne : « Le cirque DSK, ça suffit ! »